SAMEDI 24 Septembre 2022 de 14h30 à 15h30
Parc Chantemesse à CHAMBLY
RASSEMBLEMENT CONTRE
le projet de ZAE LOGISTIQUE
de Chambly et Belle-Église
et la destruction de 41 ha
de terres agricoles nourricières.
. Plus de 100 000 m2 de bâtiments de 14m de hauteur sur 41 ha d’espace naturel et agricole. C’est une surface
équivalente à 41 terrains de foot ou à celle des zones commerciales de Chambly et de Persan ;
. Aucun accès direct à l’A16 = > chaque jour, 1 200 passages de PL supplémentaires sur la RD 1001 déjà largement saturée, et des itinéraires « bis » traversant les rues de nos agglomérations aux dépens du calme et de la sécurité ;
. Une imperméabilisation d’une centaine de milliers de mÇ, seulement pour la circulation et le stationnement des véhicules PL et Vl sur la ZAE ;
. Des études d’impact non actualisées aux normes environnementales 2021/2022, imprécises, incomplètes, voire absentes ;
. Une zone « maraîchère » et un « parcours de santé » invraisemblables, entre la circulation de la RD 1001 et les 600 camions de la ZAE logistique, au beau milieu des gaz et des particules fines.
L’enquête publique vient de recueillir plus de 200 contributions défavorables à ce projet, soit bien plus de 90% du total.
Il faut que l’expression de cette opposition soit entendue par le commissaire enquêteur qui doit rendre un avis éclairé prochainement, notamment sur le permis d’aménager et les permis de construire.
Amplifiez encore votre refus de ce projet en participant au Rassemblement de toutes les associations signataires, le samedi 24 septembre.
C’est nécessaire, car le Maire de Chambly continue de pousser la réalisation d’un projet générant des quantités exorbitantes de Gaz à Effet de Serre (GES) et stérilisant toute faune et flore sur une zone immense.
Les canicules de cet été et la sécheresse prolongée confirment au quotidien l’exactitude des prévisions alarmistes du GIEC et de toute la communauté scientifique.
Mais Chambly dénie ces évidences et veut, coûte que coûte, mener à bien ce projet.
POUR
l’organisation de la RÉSILIENCE
au réchauffement climatique
et à l’effondrement de la biodiversité.
Plus aucun aménagement ne doit aggraver le réchauffement climatique par des émissions de GES supplémentaires.
Plus aucun aménagement urbain ne doit porter atteinte à la biodiversité.
Il est urgent d’organiser la résilience, de délibérer et de mettre en oeuvre les meilleures dispositions :
– pour s’adapter aux perturbations inéluctables (canicules, sécheresses, incendies, inondations) que notre mode de fonctionnement énergivore a engendré ;
– pour atténuer ces perturbations, en échangeant notre mode de fonctionnement polluant contre un autre, respectueux de la nature et sobre en énergie.
Il faut renoncer aux nouveaux aménagements routiers et aux grands équipements.
Tout projet doit présenter le calcul clair et honnête de son impact sur le climat et sur la biodiversité.
Nos élus doivent se former à ces nouvelles contraintes avant de décider. Ils ont de lourdes responsabilités pour adapter la ville au changement climatique, prendre les mesures qui s’imposent et pour atténuer substantiellement notre empreinte sur l’environnement, voire la diminuer jusqu’à la neutralité.
C’est maintenant qu’il faut agir pour espérer assumer la catastrophe environnementale que tout annonce.
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Programme du samedi 24 septembre à 14h30 :
– Informations sur le dossier / – Débats sur les adaptations et atténuations. / – Formations, en plusieurs ateliers en plein air.